ALVF est une association de lutte contre les violences faites aux femmes basée au Cameroun à Yaoundé, Douala et Maroua. Elle a été crée en 1991 par 7 femmes : Siké Billé, Esther Endalé, Dora Essaba, Pierrette Memong Meno, Maria Mouen Kala Lobé, Charlotte Ndomé Ebotto et Ngobo Ekotto.
En 2019 Aissa Damoura reçoit le prix Simone Veil.
Contraceptions, violences, mariages forcés, sexualité ; entre 1991 et 2019 les sujets ont évolué mais sont toujours d’actualité.
Ce reportage a été créé lors d’entretiens avec les membres de l’association à Yaoundé (et à Douala pour quelques événements) au Cameroun.
Installée au dessus d’une pharmacie de Yaoundé II, quartier bouillonnant de sa population sans cesse en mouvement, ALVF accueille les femmes et enfants victimes de violences malgré leurs moyens minimes. La coordinatrice Haingo Manga Ada n’a pas une minute, elle guide les différentes assistantes sociales et bénévoles qui viennent aider malgré le danger de se lier à cette association.
Au cours de diverses conversations avec les jeunes bénévoles on découvre que l’on souhaite les mêmes choses : rêver, s’instruire, faire la fête et ne plus être victime d’inégalités. La différence est que le pays a fermé les universités empêchant les jeunes d’être diplômés et d’avoir une chance de changer la société. La différence c’est que la violence de la rue est beaucoup plus dangereuse et la « justice » sociale beaucoup plus forte.
Ce reportage est une humble illustration de cette activisme.
Extraits des causeries éducatives avec les jeunes filles et les mères, de la rencontre d’actrices des associations Yaoundaises, d’une aide d’une mère à l’hôpital, etc.
ALVF est une association de lutte contre les violences faites aux femmes basée au Cameroun à Yaoundé, Douala et Maroua. Elle a été crée en 1991 par 7 femmes : Siké Billé, Esther Endalé, Dora Essaba, Pierrette Memong Meno, Maria Mouen Kala Lobé, Charlotte Ndomé Ebotto et Ngobo Ekotto.
En 2019 Aissa Damoura reçoit le prix Simone Veil.
Contraceptions, violences, mariages forcés, sexualité ; entre 1991 et 2019 les sujets ont évolué mais sont toujours d’actualité.
Ce reportage a été créé lors d’entretiens avec les membres de l’association à Yaoundé (et à Douala pour quelques événements) au Cameroun.
Installée au dessus d’une pharmacie de Yaoundé II, quartier bouillonnant de sa population sans cesse en mouvement, ALVF accueille les femmes et enfants victimes de violences malgré leurs moyens minimes. La coordinatrice Haingo Manga Ada n’a pas une minute, elle guide les différentes assistantes sociales et bénévoles qui viennent aider malgré le danger de se lier à cette association.
Au cours de diverses conversations avec les jeunes bénévoles on découvre que l’on souhaite les mêmes choses : rêver, s’instruire, faire la fête et ne plus être victime d’inégalités. La différence est que le pays a fermé les universités empêchant les jeunes d’être diplômés et d’avoir une chance de changer la société. La différence c’est que la violence de la rue est beaucoup plus dangereuse et la « justice » sociale beaucoup plus forte.
Ce reportage est une humble illustration de cette activisme.
Extraits des causeries éducatives avec les jeunes filles et les mères, de la rencontre d’actrices des associations Yaoundaises, d’une aide d’une mère à l’hôpital, etc.