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couper les roses

150,00 

Delphine Dabadie

2020

Photographie numérique

Tirage jet d’encre sur Baryta Prestige Canson 340g

16,7 x 24 cm

9 en stock

« Et si je connais, moi, une fleur unique au monde » – Antoine de Saint-Exupéry

Cette œuvre est tirée et numérotée à dix exemplaires et accompagnée de son certificat d’authenticité.

Le tirage sera réalisé sur du papier « Canson Infinity Baryta Prestige 340g ». Ce papier baryté a un aspect légèrement brillant. Il offre aux images une finesse exceptionnelle et des noir profonds.

Comment mettre en valeur votre tirage ? L’artiste vous conseille de l’encadrer dans une jolie caisse américaine, sur mesure, ce qui donnera de la profondeur à l’œuvre.

Le tirage est vendu sans encadrement.

Le tirage est accompagné d’un poème rédigé par l’artiste.

Les délais de livraison peuvent varier en fonction des œuvres, généralement entre 1 et 4 semaines.

Delphine Dabadie est née à Paris et a passé son enfance dans les Yvelines. Elle commence la photographie à 15 ans, en prenant des cours avec une photographe dans un conservatoire d’arts. La photographie devient alors une évidence, et c’est tout naturellement qu’après le lycée, elle intègre une formation de photographie au BTS Auguste Renoir à Paris.

Sa pratique de la photographie est introspective, « j’aime me questionner et utiliser mon corps et mon esprit pour traduire ces idées ». Elle désire soulever des interrogations à travers ses œuvres en espérant que chacun pourra y trouver une réponse.

Afin de nous questionner, l’artiste utilise son corps dans des autoportraits, joue le médiateur entre l’artiste et le regard que nous portons sur l’œuvre et ouvre ainsi le débat : « J’essaie de créer un dialogue à la fois universel et singulier avec celui qui regarde mes photos, qu’il peut déchiffrer en faisant appel à sa propre expérience de vie. Ainsi je n’impose pas ma réalité aux autres même si mes œuvres reflètent des interrogations personnelles, celles-ci, pouvant résonner en chacun de nous ».

Néanmoins, tout en laissant une liberté au regard des autres, elle accompagne très souvent ses photographies de textes ou poésies libres afin de livrer une sorte de « journal intime ». « Les mots sont bien souvent aussi importants que l’image ».

Ainsi, ses œuvres évoluent en fonction de ses questionnements, de ses émois, avec une fragilité palpable.

Fragilité qu’elle a découvert avec l’œuvre de Francessca Woodman dont une phrase définit bien sa pratique photographique : « Les choses du réel ne me font pas peur, seulement celles qui sont au fond de moi ».